Client : La Presse de Montréal
Catégorie : Écrit, Photographie, Journalisme, Production

Devant l’Assemblée générale de l’ONU à New York, cet automne, le président haïtien Jovenel Moïse qualifiait d’« inadmissible » le fait que tant de jeunes fuient son pays « en quête d’opportunités ». Cet exode, tout comme celui des cerveaux, est inquiétant pour le pays, souligne-t-il. C’est aussi l’avis du chanteur K-Dilak, dont la pièce Yo ale (Ils sont partis), exhorte ses compatriotes à rester au pays. La Presse l’a rencontré chez lui dans la région de Port-au-Prince.

Étienne Côté-Paluck
Collaboration spéciale

Port-au-Prince — « Quand tout le monde sera parti, il ne restera plus rien », raconte K-Dilak dans sa maison semi-meublée qu’il partage avec un ami. « Que va-t-on laisser pour les enfants du pays ? Qui va développer Haïti si tout le monde s’en va ? »

Lire la suite :

https://plus.lapresse.ca/screens/1d09359d-0255-40f9-9f16-4a754ba2f446%7C_0.html